jeudi 3 mai 2012

Ombres et Ténèbres


Le prochain film de Tim Burton, nommé Ombres et Ténèbres, sortira dans les salles de cinéma dès le 11 mai 2012.

MissBaron -xXx-

lundi 30 avril 2012

Jean-Pierre Jeunet





Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain (2001)


Synopsis: C’est l’histoire d’une jeune serveuse, plutôt timide, dans un café de Montmartre. Par la trouvaille d’une petite boite à souvenirs dans son appartement, elle a changera la vie d’une personne. À partir de ce moment, elle gardera l’idée de se mêler de la vie des autres. Amélie deviendra alors une entremetteuse secrète. Elle persuadera son père de poursuivre son rêve de faire le tour du monde, avec l’aide d’un nain de jardin et d’une amie hôtesse de l’air. Elle mettra également son grain de sel dans la vie des gens qu’elle côtoie au travail, elle s’arrangera d’ailleurs pour que l’une d’entre elle tombe amoureuse d’un client et que ce soit réciproque : Georgette, l'hypocondriaque, et Joseph, un homme particulièrement jaloux. Elle rédigera aussi une fausse lettre à l'intention de sa concierge, terriblement dévastée depuis la mort de son mari, lettre prétendument écrite par le mari en question, et qui aurait été égarée il y a trente ans par la poste; tandis qu'elle vengera Lucien des vexations continuelles que lui fait subir son patron M. Colignon. C‘est en aidant les autres qu’elle remarquera son côté solitaire. Elle tombera par la suite amoureuse de Nino Quincampoix, un jeune employé de sex-shop qui collectionne les photos d’identités jetées sous les photomatons. Tout finira pour le mieux pour les amoureux.


Critique: Si j'avais à donner une note au film, je lui donnerais 9/10. Ma partie du film préférée, c’est l’introduction avec les « J’aime/ J’aime pas » pour présenter tous les personnages importants. Chacun d’entre eux a des goûts différents, et c’est une nouvelle façon originale de les introduire. J'ai adoré l’atmosphère créée dans le film par la musique et les plans de caméra diversifiés. J'ai aussi beaucoup aimé la décision du personnage d’Amélie de se mêler de la vie des autres, car elle fait le contraire de ce que ferait la société égoïste d’aujourd’hui en général.









Un Long Dimanche de Fiançailles (2005)


Synopsis: C’est l’histoire d’une jeune demoiselle orpheline, nommée Mathilde, qui recherche éperdument son fiancé, Manec, supposé être mort à la guerre, après avoir été condamné. Elle fera des recherches, avec l’aide de 2 détectives privés, de son oncle et de sa tante, afin de le retrouver, étant convaincue que Manec est toujours vivant. Elle se promènera de place en place pour tenter de trouver le plus de preuves possible pour avancer ce qu’elle dit. L’un des détectives finira par le retrouver, vivant, mais ayant perdu la mémoire. Il ne souviendra pu de Mathilde, mais la fin laisse deviner que l’histoire d’amour pourrait recommencer.

Critique: Ma séquence préférée du film, c’est lors de la rencontre entre Manec et Mathilde, lorsqu’ils étaient enfants, qui mènera en un amour naissant. Je trouve le moment magique, car il est le parfait exemple de l’innocence de l’enfance. L’histoire d’amour entre Manec et Mathilde est ultra romantique. Le spectateur se fait des attentes positives pour la fin en se disant que c’est sûr que Manec est vivant et que Mathilde va le retrouver. La fin reste pourtant très inattendue, car personne ne s’attend à se que Manec est complètement oublié Mathilde. Une note sur 10 ? 8/10.







Micmacs à Tire-Larigot (2009)


Synopsis: C'est l'histoire de Bazil, un homme qui travaille dans un club vidéo, et qui, un soir, a reçu une balle accidentelle à la tête. Lorsqu'il était jeune, son père, démineur, à été tué par une mine qui a explosé sous ses pieds. Il avait gardé la marque de la bombe. Après avoir survécu à sa balle, il retrouva une partie de la balle en question et garda la marque en tête. Il tomba sur 2 compagnies d'armements un jour, par pur hasard, et il découvrit que les 2 compagnies en question sont celle de la balle de fusil ainsi que celle de la mine qui a tuée son père.


Critique: Si j'avais à donner une note sur 10, je lui donnerais 6/10. Le film m'a un peu déçue, quoiqu'avec le nom étrange, je me posais déjà des questions, et je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre. Il y avait par-contre beaucoup d'humour, et même si l'histoire n'était pas très bonne, le film m'a gardé en haleine tout au long car il me faisait rire. Ma scène préférée du film, c'est lorsque sa mère et lui apprennent la mort de son père, sa mère est tellement mon personnage préféré !




MissBaron -xXx-

Western




Lucky Luke (2010)


Réalisateur: James Huth


Synopsis: Lucky Luke, un cowboy de Daisy Town, est engagé par le Président pour sécuriser la ville tandis qu'ils veulent faire la jonction du chemin de fer est-ouest. Le cowboy retourne donc dans sa ville natale qui est maintenant dominée par un escroc. Il voit alors ses ambitions d'y faire le ménage contrariées par l'arrivée de vieux ennemis car il est hanté par de vieux souvenirs.


Critique: Même si c'est un film de Lucky Luke, et qu'il est aimé du public, ça reste un film western, et ce n'est vraiment pas mon genre de film. Si j'avais à lui donner une note sur 10, j'irais avec un 4. Je ne suis pourtant pas très difficile en cinéma, mais j'ai de la misère avec le western. Je ne suis d'ailleurs pas la seule. La musique ne m'attire pas, et les couleurs fades des films westerns non plus. Par contre, il y a d'excellent plan de caméra. J'aime bien les codes des films westerns, comme le fusil, ou la boule qui se promène dans le désert, ou encore la ville qui s'étend sur une seule rue.




MissBaron -xXx-

Film Noir





Kiss Kiss Bang Bang (2005)


Réalisateur: Shane Black


Synopsis: C'est l'histoire d'Harry Lockart, un petit voleur assez maladroit qui a participé à un cambriolage de magasin de jouet qui a mal tourné et qui se ramasse par accident, pour se sauver de la police, dans un casting de film, où il est immédiatement accepté comme premier rôle. Pour l'aider à se mettre dans son personnage, il se fait suivre par le détective privé Gay Perry, ce qui le mêle malgré lui dans une histoire de meurtre et de trahison. Il tombe amoureux d'une jeune actrice qui est justement mêlée dans cette histoire, et qui se trouve à être son premier amour du secondaire.

Critique: Si j'avais à donner une note à ce film, je lui donnerais un 9/10. Je l'ai trouvé très amusant en même temps d'être assez sombre, très réussi ! Tous les éléments du film noir faisait partis de ce film. En commençant par les thèmes, il y avait le crime, le film au grand complet tourne autour du meutre de Véroniqua Baxter. Il y avait la ville, l'histoire se déroule principalement à Los Angeles, la ville de rêve pour les personnages. Il y a le thème de la nuit, la majorité du film se passe la nuit, comme le soir du meurtre de Véroniqua. Il y a également le renforcement de l'érotisme, puisque lorsqu'ils sont au bar, il y a des danseurs et des danseuses nu(e)s. Dans les personnages, il y a celui qui chercher la vérité ainsi que le détective privé, Gay Perry, le traqué, Harry Lockart, la femme fatale, Harmony Faith Lane, et le tueur à gage. Il y a l'éclairage en clairs-obscurs dans la plupart des scènes de nuit. Il y a une importance avec la voix off, celle du narrateur, qui est d'ailleurs présents dans ce film. Il y a un recours aux Flash-Back, lorsqu'on retourne dans la passé d'Harry et Harmony.




MissBaron -xXx-

mardi 28 février 2012

Le Burlesque Parlant


Airplane (1980)

Réalisateurs: Jim Abrahams, David Zucker et Jerry Zucker (Les Frères Zucker & Zucker)

Synopsis: C'est l'histoire d'un ancien pilote d'avion de guerre, maintenant chauffeur de taxi, qui prend l'avion pour reconquérir sa bien-aimée. Suite au repas de poissons qui a été servi à bord, les passagers tombent malades, un à un, y compris les pilotes. Seul ceux qui n'avaient pas mangé de poissons étaient encore correct, le personnage principal en faisant parti. Étant le seul passager encore en forme ayant piloté un avion, il se doit de prendre la place du pilote pour éviter un écrasement d'avion.

Critique: Quoique vieux soit le film, je l'ai tout de même apprécié. Je lui donnerais une note de 6,5/10. Le film étant une parodie, il ne manquait pas de blagues, elles se suivaient à la queue. Par contre, seulement quelques unes m'ont vraiment fait rire. Parmi les caractéristiques du genre Burlesque, il y en avait plusieurs présentes dans ce film. Le jeu physique et la rapidité des mouvements étaient très utilisés lors de la scène de la danse. Il y a bien eu un monsieur qui a reçu de la nourriture au visage, comme on le voit souvent avec la tarte. La bastonnade était aussi très présente, dans la scène du bar et quelques fois dans l'avion. L'insertion du running gag est frappante, par exemple pour le monsieur qui attend dans le taxi pendant que le chauffeur est dans l'avion, on le revoit souvent à se demander ce qui se passe et a continuer à attendre après le chauffeur. Le keystone cops, c'est la seule caractéristique que je n'ai pas remarquée dans ce film.


MissBaron -xXx-

lundi 27 février 2012

Cinéma Fantastique



Le Labyrinthe de Pan (2006)

Réalisateur: Guillermo del Toro

Synopsis: C'est l'histoire d'une jeune fille, nommée Ophélia, qui emménage, avec sa mère, dans sa nouvelle demeure, chez son beau-père. Tout près de la maison, Ophélia découvre un labyrinthe où se cache Pan, le faune du labyrinthe, et ses 3 fées. Pan lui dira que son âme est en réalité celle d'une princesse perdue et que ses vrais parents l'attendent depuis des siècles. Elle devra accomplir 3 épreuves pour prouver qu'elle est encore la princesse, qu'elle n'est pas devenue qu'une simple humaine.

Critique: Même après 6 fois, j'aime encore autant ce film, pour ne pas dire que je l'adore ! À chaque fois, je réussis à voir le film ou un autre angle. Sur 10, je lui donnerais au mons 9,5 ! Il faut aussi avouer que le genre fantastique et les films d'horreur, c'est ce qui me passionne ! Dans ce film fanstastique, des éléments étranges et inexplicables qui suscitent la peur apparaissent dans un univers tout à fait crédible et reconnaissable. Les créatures et les éléments en question surgissent aux moments les plus innatendus. Le faune est une créature animale, ce qui entre dans dans la catégorie du monstre physiologique. Le labyrinthe se trouve dans la forêt, un premier lieu commun du genre fantastique, et cache une sorte de grotte souterraine, un deuxième lieu commun. La musique dans ce film est un aspect technique très important qu'il ne faut pas oublier de souligner.


MissBaron -xXx-

lundi 20 février 2012

Cinéma Russe


 Dziga Vertov

 Dziga Vertov es né à Białystok le 2 janvir 1896 et est mort à Moscou le 12 février 1954. Son vrai nom est Denis (Abramovitch) Arkadiévitch Kaufman et il est un cinéaste soviétique qui s'oppose au cinéma dramatique et littéraire. Il a commencé à écrire des poèmes au lycée et a aussi suivi des cours de musique. Pour trouver son pseudonyme de Dziga Vertov, qui veut dire "Toupie qui tourne". Il dit de lui-même qu'il est futuriste, d'où son pseudonyme. Il sorti son premier film en 1924, ce fut un film d'animation soviétique. En 1929, il sort "L'Homme à la caméra" qui fut l'un des plus grands chef d'oeuvre de l'histoire du cinéma.Vertov a toujours été contre tout ce qui s'appelle scénario, décors, mise en scène, etc. N'empêche qu'il se prépare toujours d'avance pour la réalisation de l'un de ces films. Il considère d'ailleurs que l'oeil de la caméra est un perfectionnement de celui de l'être humain.

Filmographie

1924 - Journal des funérailles de Lenine
1924 - Kino-Glaz
1925 - La Sixième partie du monde
1926 - En avant, Soviet!
1928 - La Onzième année
1929 - L'Homme à la Caméra
1931 - La Symphonie du Donbass. Enthousiasme
1934 - Trois chants sur Lénine
1937 - Berceuse
1938 - Trois héroïnes
1941 - Sang pour sang, Mort pour mort
1944 - Le serment des jeunes

Lev Koulechov

 Lev Koulechov était un cinéaste ainsi qu'un théoricien russe puis soviétique. Il es né à Tambov le 1er mars 1899 et est mort à Moscou le 30 mars 1970. En 1920, il dirige une école de cinéma à Moscou, où il installera un laboratoire. Il y fera toute sorte d'expériences, presque scientifiques, sur le montage. Il y créera un procédé nommé l'effet Koulechov. Avec ce procédé, Lev Koulechov démontre qu'un plan isolé n'a aucun sens s'il n'est pas accompagné de son environnement. Le spectateur essaiera toujours d'établir un lien entre le plan isolé en question et celui qui le suivra, ce qui crée l'environnement du plan. Il inventera d'ailleurs 2 types de montages: le montage réflexe qui influe sur les sentiments et le motage des attractions qui provoque l'apparition dune idée, ce montage joue avec l'intellect. Ces types de montages seront aussi utilisés chez Eisenstein.

Filmographie

1918 - Le Projet de l'ingénieur Pright.
1919 - Actualités
1924 - Les Aventures extraordinaires de Mr West au pays des Bolcheviks
1925 - Le Rayon de la mort
1926 - Dura Lex
1926 - Locomotive n°1006
1927 - Celle que vous connaissez / La Journaliste
1929 - Le Joyeux canari
1929 - Deux-Bouldi-Deux
1930 - La Brèche
1931 - Quarante Coeurs
1932 - L'Horizon
1933 - Le Grand consolateur
1934 - Vol de la vue
1936 - Dokhunda
1940 - Les Sibériens
1941 - Descente dans un volcan
1942 - Les Jeunes partisans
1942 - Le Serment de Timour
1943 - Professeur Kartashova
1943 - Nous, de l'Oural

Sergueï Eisenstein
 Sergueï Eisenstein, réalisateur russe de la période soviétique, est né le 22 janvier 1898 à Riga et mort à Moscou le 11 février 1948. Le père de Sergueï était un ingénieur municipal à Riga, et son fils poursuivra cette carrière. Il s'est engagé dans l'armé rouge en 1917 et devient par la suite metteur en scène en 1920. Il fait ses débuts au cinéma avec un film nommé "Le Journal de Gloumov" en 1923. En 1925, il tournera un très grand film faisant partie de l'histoire du cinéma: "Le Cuirassé de Potemkine". La célèbre scène de la poussette qui descend des escaliers vient de ce film, elle a été tournée le 22 septembre 1925 à Odessa. Dans ses films, Sergueï Eisenstein utilisera le "cinéma-poing", une forme d'expression qui s'oppose au "cinéma-oeil" de Dziga Vertov. Eisenstein a passé sa vie a théoriser sur le cinéma, sur ses techniques et ses possibilités.
Filmographie
1924 - La Grève
1925 - Le Cuirassé Potemkine
1928 - Octobre
1929 - La Ligne générale
1938 - Alexandre Nezski
1944 - Ivan le terrible, Partie I
1946 - Ivan le terrible, Partie II
Source:
L'Homme à la Caméra
Réalisateur : Dziga Vertov
Année : 1929
Synopsis : Ce n'est pas une histoire en tant que telle, mais plutôt toutes sortes de plan, de prises de vues et d'effets de montage magnifiques. Le mélange de toutes ces images, sans lien direct entre elles, représente la vie du matin au soir des citoyens de la ville d'Odessa. 
Appréciation : J'ai trouvé ce film très surprenant au niveau des effets visuels et du montage fait, étant donné que c'est un film de 1929 et que je m'attendais sincèrement à quelque chose de médiocre. J'ai bien aimé la trame sonore que le professeur à rajouté au film; il a enlevé la trame sonore originale pour la remplacer par un CD complet de Madonna, ce qui nous gardait plus attentif. Nous avons remarquer en classe que Vertov a utilisé l'effet Koulechov dans son film à, au moins, deux reprises. Si j'avais à lui accorder une note sur 10, je lui donnerais 8.

MissBaron -xXx-